Duchesse était anéantie . Ses trois enfants avaient disparut ainsi que Thomas. Elle aimait ce dernier mais ce n'était pas sa priorité pour le moment il savait se débrouiller seul il retrouverais sans problème son chemin mais ses petits ... ses tout petits . Ils lui manquaient tellement. Elle n'en dormait plus à vrai dire elle se sentait tellement mal, perdue et sans repère. Prête à tout pour retrouver ses trésors. Ses uniques trésors. Elle s'était renseignée partout pour trouver une aide, ou plusieurs aides. On lui avait parlé d'un homme un certain Sherlock Holmes qui trouvait toujours tout ce que les autres cherchaient. Elle devait le rencontrer. Il se trouvait au même royaume que le sien mais un peu plus loin vers le Nord. Elle devait prendre un bateau. C'est comme cela qu'elle se retrouva sous sa forme humaine sur un magnifique bateau jusqu'à arriver à bon port. A Londres.

Elle portait une tenue très élégante et attirante. Un petite robe assez courte kaki et au dessus un long manteau blanc en fausse fourrure, ne portant jamais d'animaux morts sur elle. Après tout elle en était elle même un. Elle monta dans une voiture ancienne - car cela ne faisait pas bien longtemps que ses dernières avaient vus le jour à Londres - et elle demanda au conducteur de la mener à l'adresse qu'on lui avait donné celui ci semblait connaitre le fameux Sherlock. Sans un mot de plus la jeune femme patienta le temps de la balade et arriva à bon port. Elle sortit, paya la course - Adélaïde lui avait donné une belle somme pour son voyage. - et alla toquer à la porte. Elle fut reçu par une dame bien plus agée qu'elle. Qui lui indiqua de la suivre. Elles se retrouvèrent devant la porte d'un petit appartement.

- Mademoiselle je vous laisse patienter à l'intérieur. Je vais le chercher.
- Merci madame vous êtes bien aimable.
- Voulez vous boire quelque chose du thé par exemple ?
- Un verre de lait m'ira très bien je vous pris. Et encore merci .
- Du lait ? Je .. heu très bien mademoiselle. Votre nom ?
- Frances. Duchesse Frances.


La jeune femme entra alors dans le " bureau " qui était en faite un appartement en dépotoir mais soit, elle n'avait rien à en dire, si il pouvait lui retrouver ses enfants elle se moquait bien de savoir si il était maniaque ou non. Elle pris place sur le petit sofa tout d'abord elle voulu mettre les pieds sur le fauteuil, son habitude féline était toujours très imprimée dans son esprit. Puis elle se reprise et croisa simplement les jambes, des jambes interminables. C'était une belle minette ... c'était une belle humaine. Elle attendit alors que l'homme arrive pour lui expliquer ce qu'elle attendait de lui , de toute manière son prix était le sien elle se moquait bien de la somme. Elle était riche. Elle voulait juste retrouver ses bébés.

DUCHESSE & SHERLOCK

« Quand on cherche... On trouve ! »

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La jeune " femme " attendait avec une certaine impatience que l'homme entre. Chaque seconde était importante qui sais ce que pouvait faire ses chers et tendres enfants ? Toulouse avait peut être voulu jouer aux chats de gouttière et s'était battue, il était peut être blessé ... ou pire . Berlioz était peut être tomber dans une cave en voulant écouter de la musique et Marie ... sa douce Marie était peut être tombée entre de mauvaises mains. Son coeur se serra à cette pensée et ce fut à cet instant que l'homme entra dans la pièce. Son regard était ben étrange il semblait en rûte .. les humains avaient ils aussi leurs chaleurs ? C'était un homme avec un charme fou, semblable à un chat de gouttière et pourtant avec une façon de parler bien précieuse. Duchesse voulu se relever mais ce dernier lui fis signe que ce n'était pas la peine alors elle reposa son postérieur sur le confortable sofa et croisa à nouveau ses fines jambes ambrées. Il parlait rapidement ne voulant pas savoir pourquoi elle venait il voulu deviné et il y parvint à la perfection, à la grande surprise de la délicate jeune femme.

- C'est bien cela à un détail près ils sont trois et non un seul.

Trois ? Mais Thomas dans tout ça l'avait elle oublié ? Ce n'était bien sur pas le cas mais il savait se débrouiller et elle voulait que le détective mette toute son énergie pour ses petits.
La vieille femme qui lui avait ouvert la porte revint avec un petit plateau. Elle donna le verre de lait à la délicate femme puis une tasse de thé et un verre de wisky à Holmes. Duchesse connaissait l'alcool ... elle détester cette odeur . Elle remercia poliment la femme qui repartit aussi vite qu'elle était venue. Duchesse pris alors la parole.

- Je suis à la recherche de mes petits. Dis elle en se penchant pour lui tendre une photographie, c'était la photo de famille prise par Adélaïde on y voyait les trois petits chatons, Thomas et Duchesse. Touts avait beaucoup de classe. - Ce sont les trois chatons au devant ... Berlioz, Toulouse et Marie. Je souhaite que vous les retrouviez. On dis de vous que vous pouvez tout trouver ... j'ose espérait que ce sois le cas. Dis elle d'un ton doux avec un amer tristesse dans la voix. Voyant la surprise de l'homme qui s'entendait surement à rechercher des êtres humains elle ajouta d'une voix déterminée. - Il y a une grosse somme d'argent à la clef. Je suis prête à tout pour retrouver mes petits. Son regard fixait sur l'homme elle n'allait pas lâcher cette affaire car il n'y avait pas plus déterminée qu'une mère recherchant ses enfants. Bien sur elle n'avait pas dis cela à l'homme ; elle était sous sa forme humaine et donc il était impossible que ce sois ses enfants ... du moins sans magie.

DUCHESSE & SHERLOCK

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Quand le détective manqua de tomber de sa chaise la jeune femme manqua de sortir les griffes mais elle continua à faire bonne figure après tout elle n'était pas un chat de gouttière.  Elle le laissa parler jusqu'à la fin heureuse de voir que sa voix se fit plus douce et calme. Elle pencha un peu la tête sur le cotés alors que son regard brillant pénétra celui du détective. - Je dispose d'une grande fortune monsieur Holmes. Et oui je suis prête à dépenser de grosses sommes pour retrouver ces trois chatons. Si ils n'importaient pas pour moi je n'aurais pas fais autant de kilomètres. Je viens de France vous savez, de Paris plus exactement. Je suis venue vous voir car l'on dis que vous êtes le meilleur mais si les dires ne sont pas correct dites le moi tout de suite je partirais comme je suis venue. Elle porta le verre de lait à ses lèvres et le bus avec élégance. Elle se souvenait tout à fais du moment où elle était devenue humaine pour la première fois et surtout le mal qu'elle avait eut pour apprendre à marcher, à manger, à boire et bien d'autres choses encore. Pourtant elle y était parvenue.

Elle posa le verre sur la table basse face à elle et regarda à nouveau le détective avant de dire d'une voix douce et pourtant ferme et déterminé. - Je ne pense pas qu'ils sois simplement perdu. Je pense qu'ils ont été kidnappés. Comme je vous ai dis je suis d'une famille aillant une bonne fortune et beaucoup de personnes mal attentionné pourrait les avoirs enlever. Edgar, le majordome de la maison était parvenu à nous ... à les kidnappés heureusement tout c'est bien terminé. Sa voix était un peu plus mielleuse. Elle devait faire attention à ne pas dire de bêtises à ne pas laissé sa langue se fourcher il ne devait pas comprendre qui elle était réellement car jamais il ne comprenait cela et puis qui sais ce qu'il pourrait lui faire. Les gens n'étaient pas toujours adepte de la magie même quand cette dernière était des plus pures. De plus elle ne savait pas si il croyait ou non en la magie et paraitre pour une folle après lui avoir demander de retrouver trois chatons ... ce n'était pas la meilleure solution pour obtenir son aide.

La jeune mère se pencha alors vers lui le fixant de ses yeux azurs et doucement penchant un peu la tête elle lui demanda d'un ton presque suppliant. - Allez vous me venir en aide monsieur Holmes ? Sa voix était des plus délicieuse et envoutante. Après tout c'était un chat et qui peux résister au ronronnement d'un chat ? Si elle était sous sa forme réelle c'est ce qu'elle ferait à ce moment précis elle serait monter sur ses genoux ronronnant et miaulant avec douceur ... non les humains ne pouvaient pas résister à ce genre de choses les chats avaient quelques choses de ... magique.