Enfant, j'ai été enlevée par une vieille femme qui m'éleva comme sa fille, bien qu'en faite elle ne voilait que les pouvoirsde ma chevelure afin de rester éternellement jeune et bien évidemment, elle me cacha toute la vérité pour me garder. Les années passèrent, je grandissais et enfermée dans ma grande tour avec les longs cheveux couleur d'or qui ne cessaient de pousser, seule les étranges étoiles ou lumières qui se soulevaient dans le ciel la nuit de mon anniversaire me faisait rêver chaque année. Tous les ans, mon envie de me rendre au lieu même où ces lanternes étaient lancées grandissaient, mais je n'osais pas demander à mère que me laisser m'y rendre. Les jours, les mois et les années passèrent tandis que la monotonie s'installait dans ma vie, en effet, tous les jours dès mon réveil, je pratiquais plusieurs activités diverses et variées, elles sont d'ailleurs énumérées dans la partie précédente. Enfin, c'est peu de temps avant mon 18ème anniversaire et avec les encouragements de Pascal, mon seul ami que je pris mon courage à deux mains et décidais de demander à mère de me rendre au lâcher des lumières. Malheureusement, mère refusa et partit comme elle était montée dans la tour, c'est-à-dire, grâce à ma chevelure qui servait d'ascenseur. Le jour même, un jeune inconnu fit intrusion dans ma tour et ma première réaction fut de lui donner un coup de poêle sur la tête, car durant toutes ces années mère m'avait toujours dit que les personnes extérieur me voilà du mal et souhaitait acquérir le pouvoir de mes cheveux. Sous les conseils de Pascal, je pris la précaution de regarder si l'homme n'avait pas les dents pointus. Ce que je découvris me surpris grandement, en effet, le jeune homme me semblait comment dire... Ah oui, ''beau''.  Tout d'un coup, il se réveilla, alors je lui redonna un coup avant de le mettre dans mon armoire, même s'il m'avait fallu plusieurs reprises pour réussir ma manœuvre. A ce moment, les seuls mots qui me virent étaient: « Il y a une personne dans mon armoire... » Me faisant peu à peu à cette idée, je fis tourner ma poêle et me cogna avec celle-ci. Etant devant le miroir, j'aperçus alors une lueur dans la sacoche de l'inconnu, c'était un bijou qui semblait briller. Je tentais de le mettre comme un bracelet, mais il était bien trop grand, puis je regardais l'une des pierres comme s'il s'agissait d'une glace, mais Pascal fit non de la tête, alors je décidais de le mettre comme un diadème. C'était ça, un diadème et il m'allait. Je restais un moment silencieuse, quand j'entendis ma mère me crier: « Raiponce lance ta chevelure. »  Je rangea rapidement le diadème dans la sacoche puis dans un pot avant de monter mère. Tout cela en lui criant: « J'arrive » « J'ai une surprise pour toi. » « Moi aussi. » « La mienne est plus grande. » « Je ne pense pas. » Murmurais-je une fois qu'elle était montée.Elle me déclara alors qu'elle avait prévu de faire mon plat préféré et s'excusait pour notre dispute de tout à leur. Mais, je n'avais pas l'intention de laisser tomber mon idée d'aller voir les lumières, je remis donc cette discussion en comptant lui dire pour la personne dans mon armoire, mais elle hurla: « Tu ne quitteras jamais cette tour, tu m'entends. » A ces mots, je changeais de sujet en déclarant que je souhaiterais de la peinture à base de coquillage blanc. Elle descendit de nouveau, alors je sortis l'homme de mon placard en l'attachant à une chaise avec mes cheveux et pris ma poêle en tant qu'arme de défense. Puis, tant bien que mal que convaincue ce Flynn de m'emmener jusqu'aux lanternes.

Ainsi débuta mon aventure et malgré quelques hésitations sur le fait que je devais partir ou pas, je pris mon courage à deux mains, car j'avais rêvé de ces lanternes depuis si longtemps. Donc à partir de là, Flynn me conduisit dans une taverne remplit de bandits. Au début, je ne me sentais pas à l'aise du tout, mais je me rendis rapidement compte que les bandits présents n'étaient pas comme ceux que mère m'avait décrit. En effet, ils étaient plus gentils et de tout évidence ne voulaient pas voler les pouvoirs de mes cheveux. A ce moment, j'appris que Flynn était recherché par les gardes du château et qu'ils étaient en route pour la taverne où nous nous trouvions, alors nous avons un passage secret et après quelques acrobaties nous nous sommes retrouvé coincé dans une caverne qui se remplissait d'eau. Tout cela était de ma faute, je commençais à m'excuser quand Flynn avoua s'appeler Eugène et dans le feu de l'action, je lui avouais pour les cheveux qui s'illuminaient quand je chantais. Voyant ici une solution pour sortir de la caverne en vie, je me mis à chanter: « Fleur aux pétales d'or, répands ta magie, inverse le temps, rends moi ce qu'il m'as pris. Guéris les blessures, éloigne la pluie, ce destin impur, rends moi ce qu'il m'a pris, ce qu'il m'as pris » Mes cheveux s'illuminèrent et une sortie s'ouvrit à nous. Une fois sortit de l'eau et sécher, je déclarais à Eugène que mes cheveux ne faisaient pas que s'illuminer et terminais par le guérir, car il s'était blessé quand il cherchait une issue dans la grotte. Après une brève discussion, il partit chercher du bois et pendant ce temps, mère apparu voulant me ramener dans ma tour, mais je refusais. Elle me donnait alors la sacoche en me disant de la rendre à Eugène que c'était seulement ce qu'il voulait, mais moi je m'étais attachée à lui et je tenais à lui, donc je ne voulus pas croire à cette idée.

Le lendemain, c'était le jour de mon anniversaire, le jour du lancé des lanternes. Nous nous sommes rendus à la ville et avons passez la journée à nous amusé, bien entendu, j'avais dû attacher mes longs cheveux en tresse afin d'éviter qu'on ne marche dessus.Le lendemain, c'était le jour de mon anniversaire, le jour du lancer des lanternes. Nous nous sommes rendus à la ville et avons passé la journée à nous amuser, bien entendu, j'avais dû attacher mes longs cheveux en tresse afin d'éviter qu'on ne marche dessus. Puis, nous avons pris un petit bateau pour assister aux lancés de lanternes et quand ceux-ci commencèrent, Eugène m'en tendis une. Je décidais alors de lui rendre sa sacoche, mais il l'a posa par terre. Nous étions sur le point de nous embrasser quand il s'excusa et se rendit sur la rive, il me déclara revenir bientôt alors j'attendis avec Pascal sur mon épaule. Puis, des bandits s'en prirent à moi et mère me sauva. De retour dans ma tour, j'eus des flashs, encore et encore. C'était des souvenirs, je compris donc que j'étais la princesse disparut et que mère m'avait enlevé à mes vrais parents dans mon enfance. Découvrant que je savais tout, ''mère m'attacha et c'est à ce moment qu'Eugène arriva. ''Mère'' le poignarda, mais je fis la promesse que si elle me laissait le soigner, je la suivrais le restant de ma vie. M'apprêtant donc à le soigner, Eugène coupa mes cheveux, les faisant ainsi devenir brun et sans aucun pouvoir. Je ne comprenais pas pourquoi il m'avait empêché de le soigner, alors je tentais pas n'importe quel moyen de le soigner, mais rien à faire, je n'y arrivais pas. C'est alors qu'une lumière apparut et il fut soigné, ma larme l'avait guérit. Heureuse, je sautais dans ses bras et comme Mère G. était à présent morte je retournais auprès de ma vraie famille. J'appris dès lors les mystères de ma chevelure et des fameuses raiponces qui avait valu mon nom.  

Je pensais pouvoir précieusement garder ces souvenirs en mémoire, mais j'avais tort. La malédiction me les retira et me propulsa dans une autre vie, une autre moi, un autre monde. J'avais une fois de plus perdu ma famille, mais aussi mon amour et mon mari.

Une autre vie, une toute autre histoire. Une vie que je croyais bien réel qui pourtant n'était que mensonge et ce de bien des manières. Une fausse vie remplit de mensonges et de trahisons, voilà ce qu'était ma vie à Storybrook. J'étais née Sunshine-Plùme et enlevé par une femme avide et amené dans cette petite ville du Maine. M'appelant Siobhàn, je ne me suis doutée à aucun moment que cette femme qui me surnommait " mon enfant" n'était autre que celle qui m'avait arraché à ma véritable et tendre famille. Gothel me surveillait, me surprotégeait, enfin c'était ce que je croyais. Elle voulait uniquement contrôler ma vie en m'empêchant de vivre comme je le désirais. D'ailleurs, c'était un exploit qu'elle me laisse aller à l'école.

Je laissais couler, pensant que son comportement était des plus banals en tant que mère célibataire jusqu'à ce que tout empire. Pour la première fois depuis toujours j'avais une amie et cette dernière m'avait invité à sa fête d'anniversaire. Je n'aurais jamais imaginé que "ma mère" puisse réagir ainsi. Elle c'était mise à crier, devenant hystérique, elle me priva de sortit et laissa entendre, qu'avant ma majorité je ne pourrais pas faire mes propres choix. A ce moment, ma vie, mon futur était devenu clair. Je me tiendrais à ses règles et à ma majorité, je partirais enfin à la conquête de mes rêves, faire le tour du monde et devenir une artiste reconnue. Je ne supportais plus de devoir cacher mes dessins et les photographies du monde afin de ne pas les voir brûler dans la cheminée.

Ma majorité enfin atteinte, je pris la fuite, pris le nécessaire et pris enfin ma vie en mains. Je ne supportais plus de vivre dans cette prison qu'était devenue ma maison et encore moins après avoir surpris une conversation de "ma mère" au téléphone. J'avais appris en une fraction de seconde que ma vie n'était qu'une suite de mensonges plus gros les uns que les autres. Mon nom, ma vie, ma mère. Rien n'était vrai. Un an était passé et pourtant ma fausse mère ne veut pas lâcher l'affaire. Pourquoi refusait-elle d'appliquer ses propres paroles? Je tentais de l'ignorer et de vivre ma vie, mais ce n'était pas une affaire des plus simples au vu de ma situation. Les fins de mois était assez difficile, mais je faisais de mon mieux pour garder la tête hors de l'eau.

Je pensais avoir vécu le pire, mais ce n'était qu'illusion. Du jour au lendemain, j'avais tout compris. Des mensonges sur un lit de mensonges, ma vie avait-elle au moins un semblant de vérité? Je crois que cette question ne trouvera pas de réponse et ce notamment depuis que j'ai découvert que j'avais deux vies. La malédiction avait été levée, mes cheveux avaient retrouvé leur magie et Gothel me pourchassait autant qu'auparavant, désirant une fois de plus mettre la main sur ma chevelure. D'ailleurs, je n'aurais jamais cru que la magie serait revenue et pour sûr, j'avais fait en sorte qu'elle disparaisse. Mais, de toute évidence, le destin en avait décidé autrement. C'était ce que j'avais cru un long moment avant d'apprendre que tout cela était l'oeuvre de Gothel elle-même. Elle avait demandé à ce que mes cheveux soient de nouveau enchanté en espérant qu'ils redeviennent une source de jouvence personnelle pour elle. En fait, je me demandais même si elle avait l'intention de me révéler ce secret et je ne l'aurais sans doute jamais su si je n'avais pas chanté cette nuit-là. Un ami blessé, une chanson, un miracle. C'était assez flou et aujourd'hui encore j'ai dû mal à me souvenir des moindres détails.