Il était une fois, un roi et une reine qui eurent beaucoup d'enfant...

Je suis Elinor, fille unique de Mélandra et de Orwy. Je suis mariée choisi par le roi Fergus lors d'un tournois. C'est son agilité qui a fait qu'il a gagné ma main. Mes parents étaient fière de moi, c'était tout ce qui m'importait. Mon bonheur passait bien après, après tout, que pouvais-je bien rêver de plus ? J'étais faite pour devenir Reine. L'organisation, l'éducation et la paix étaient mes maitres mots depuis toute petite. Je savais ce que ma vie devait être en était la descendante du clan Dunbroch...
Ma première fille naquit peu de temps après mon mariage avec Fergus. Cet homme était un gros nounours, il était mon mari et on avait pu s'accepter qu'à partir de ce moment là. Notre fille nous avait rapproché choses que nos descendances ne pourront jamais comprendre. On le savait tout les deux. Toujours est-il qu'elle était notre trésor, notre volonté et notre héritière. Très vite, elle avait grandit et nos triplés remplirent très vite le château de cri, de rire et de larme. Je savais que j'en demandais énormément à notre fille, et la naissance de ces petits frères n'avaient absolument rien arrangé mais peu importe. Il le fallait. Les vacances étaient terminé, elle devait grandir, une lourde tâche l’attendait pour ses vieux os.

Lorsque Mérida avait atteint son 6eme anniversaire, son père lui avait offert un arc. Chose où j'avais été fortement en colère, il n'avait pas le droit d'aller à l'encontre de l'éducation de notre fille tandis qu'il défendait nos terres. Cependant, je n'étais pas assez dur ce jour-là pour lui refuser un tel cadeaux, en voyant les yeux de Mérida s'illuminer. Elle avait été directement essayé son nouveau cadeau, laissant tout les invités venus exprès pour elle. Le pire n'était pas encore arrivé et ce fut que plus tard dans la journée que je m'en étais rendue compte. On était partie à ta recherche et quelle ne fut pas notre surprise en te voyant au main d'un horrible ours. Mon mari, perdit sa jambe en perturbant l'animal le temps que je t'emportais loin de lui. Je ne savais pas comment Fergus s'en était tiré mais en tout cas, il n'en fut pas peu fière de revenir non sans mal, avec un membre en moins, sa jambe. Les médecins avaient été pessimistes mais, toujours à ses côté, Fergus avait rapidement pris le dessus malgré son handicape et était revenue très vite sur pied.

Je n'attendais plus que ça, le concours des Premiers Nés qui devaient révéler le futur époux de Mérida et ainsi, prendre la place de Fergus et moi-même sur le trône. Ils devaient concourir lors d'un tournoi, que Mérida devait choisir et bien évidemment, elle avait choisi le tir à l'arc. C'était une loi ancestrales, elle ne pouvait pas passer au travers, le destin l'avait fait naître ainsi, il allait bien falloir qu'elle l'accepte. Avec son sale caractère, elle avait réussi à tout mettre parterre, en plantant l'insigne de notre famille, Donbrocke dans le sol devant tout le monde. Rendant ma situation détestable, hors de moi, je l'avais mise en garde mais butée, elle avait continué dans sa lancé en décimant les trois cibles posés pour le concours en mettant trois flèches ciblés. Détruisant la flèche de son promis.

On ne pouvait pas dire que je faisais plus que mon possible pour tenir ma fille dans le droit chemin, essayant de garder mon sang froid légendaire, connu par tout mon royaume mais c'en était trop. Elle avait été bien trop loin pour que je laissais passer un tel outrage aux lois ancestrales. Il fallait que je lui remette les pendules à l'heur avant que tout ce carnage ne fasse le tour du pays, malheureusement, elle ne voulait rien entendre et déchira la tapisserie que j'avais cousue pour elle, alors qu'elle n'était qu'un bébé. Mon cœur s'était déchirée au même moment. J'étais déchirée entre la douleur, la tristesse et la colère. Contre mon plein gré, le troisième se déclencha plus vite que je ne l'aurai cru. Après son discours de fille trop gâtée, je lui avais prit l'arc que son père lui avait offert et l'avait balancé dans le feu qui crépitait depuis le début de l'après midi pour réchauffer sa chambre avant la nuit. Je n'avais comprit seulement après avoir vu le visage de ma fille changer d'expression que j'avais commis une terrible erreur à son égard. Je m'étais dépêchée de le sortir des flammes mais elle s'était déjà enfuit sans que je puisse la retenir.
Fergus m'avait vite rejointe et je lui avais raconté la dispute, son geste et le mien, totalement inutile face à ce genre de situation parce  que cela ne pouvait évidemment pas s'arranger de cette manière. On avait apprit bien plus tard par nos domestiques que Merida avait fuit avec son cheval, Angus et qu'elle était toujours pas revenue. Torturée par l'inquiétude, je n'arrivais pas à trouver le sommeil. C'était trop difficile de penser que c'était à cause de moi que ma fille était peut-être tomber dans les bras d'un autre animal sauvage de la forêt qui broder le terrain de notre château.

C'était vraiment avec un soulagement entier que je ne pouvais pas contenir lorsqu'elle était revenue avec un gâteau étrange qu'elle m'avait donné. Elle m'avait demandé de la goûter et je n'avais absolument rien comprit, je m'étais transformée en un énorme ours brun géant.

écrire ici