Il s'était pris une douche comme d'habitude. Il rechassait la conversation, le règlement de compte, qu'à du mal prendre Regina. Bien sûr, il savait qu'elle avait raison, qu'il n'avait pas fait effort de revenir de temps en temps. Il ne pouvait pas revenir auparavant, même s'il aurait voulu, cependant il peut se « racheter ». Il essayera de se racheter, en essayant de voir comment réagira son amie quand elle apprendra qu'il héberge quelqu'un. Et surtout si elle apprend qu'elle est la « voleuse ». Il espérait qu'elle ignorait. Il voudrait qu'on apprécie, et pas qu'on la hait pour ses anciennes « erreurs ». La ville entière voyait en elle la « méchante reine » quelqu'un venant de blanche neige. La bêtise qui amusait beaucoup Dodo. Il ne croyait pas aux « contes » pour lui ce sont que sornettes pour assommer les adolescents. Il sortait de la douche avec uniquement une serviette autour. Il soupira longuement, en se doutant qu'il avait oublié d'emporter des vêtements. Il regarda attentivement, avant de poursuivre son chemin rapidement, pour se changer convenablement. Il avait un rendez-vous pour un client. Il revint pour se chouchouter. Il ne l'avait pas entendu aujourd'hui. Ou peut-être dormait-elle ? Il va dans sa chambre rapidement, en voyant qu'il était seulement 9h30. Il en déduit qu'elle ouvrait pas aujourd'hui. Il prépara rapidement le déjeuner. Le café, des croissants, et également du lait pour l'accompagnement. Il prépara la table, et alla chercher Emily : « Le déjeuné est prêt. » Il se retourna pour repartir quand il rajouta : « Tu vas être en retard. » Il ne réveillait pas en douceur, cependant il avait raison quand on se réveille pas. On termine souvent en « retard ». Le fait qu'elle est la « gérante » ne lui donne pas les droits. Elle doit montrer exemple aux personnels. La zizanie sinon ça s'emparait du magasin.

Il alla dans le salon pour déjeuner, en prenant son journal pour savoir tout ce qu'on racontait sur StoryBrook. Il y avait par moment que des mots blessants, ou des remerciements. Cela dépendait beaucoup de la personne « adressait ». La plupart du temps cela montrait les « erreurs » du maire comme quoi elle était vraiment « un monstre ». Et d'autre part tout simplement, des actualités de la semaine. Il commença à servir le café, avant d'entendre la belle brunette s'aventurer dans l'appartement. « Combien de sucre dans ton café ? » Il examina attentivement sa colocataire qui somnolait. Il remarqua qu'elle avait dû sûrement pas dormir beaucoup. Elle a dû travailler pour terminer « un projet ». Le personnel sont là pour exécuter les « commandes ». Il la regarde un moment quand elle vient s’asseoir pour prendre le déjeuner. Et rajoute également : « Tu ne devrais pas te surmener. » Inquiet un peu. Il s'agissait de sa protégée, donc il devait s'occuper d'elle le temps qu'un loyer. Il aura du mal cependant à la voir s'éloigner, son « d’absence » va mettre un vide dans son appartement. Il aimerait qu'elle reste longtemps, cependant quand cet homme reviendra, il savait déjà qu'il allait la perdre, comme celle d'auparavant. Ce qui intérieur le blessait. Il n'était cependant pas démonstratif de ses sentiments. Il lui faudra beaucoup.

Il lui versa donc deux sucres. Le café il le prenait seulement « un sucre » pour donner un goût amer et le dégouter d’en boire abondement. Cela marchait parfaitement. Il en buvait au moins un seul par jour, pour limiter sa « consommation excessive ». Il était allé la réveiller, et ça se voyait qu’elle dormait mal. Dodo serait obligé de la coffrer. Il voyait comme elle se rendait « malade ». Lui était censé la protéger. Il va croire qu’elle est une « acharnée » du travail. Il se mit à soupirer en buvant lentement. « Il faut bien que quelqu’un le fasse, de toute façon, il est bientôt terminé, encore une nuit ou deux et ça devrait enfin être bon ! » Il ne pouvait pas comprendre. Il était bon par moment de déléguer le travail. La santé avant tout non ? Il savait qu’elle tenait beaucoup aux mariages, mais à ce point là c’est « maladif ». Il s’inquiétait sans même le vouloir. Il tenait à tenir ses paroles, comme pour protéger des personnes en « danger ». Il roula des yeux avant de rajouter : « Ce n’est pas une raison. » Les filles sont compliquées par moment. Et maintenant, elle lui sort qu’elle a employé quelqu’un pour la « remplacer ». Il tourne la tête négativement. Oh c’est « facile » d’employer le personnel. Quand il s’agit de la « santé » personne n’approuvera d’arrêter. « C’est aussi pour ça que j’ai demandée à une collègue de me remplacer à l’ouverture ce matin » autant qu’elle bosse, et qu’elle arrête un moment, c’est ce qu’il comptait mettre « en œuvre ». Il eut un fin sourire pour montrer sa détermination. Il regarda ailleurs, un moment sachant qui elle pouvait léger son travail. Le temps qu’elle reprenne aujourd’hui. Il prit son portable, en terminant de manger correctement. « Je crois que tu as mérité une matinée de « repos » non ? Quelle est le nom de la personne à qui tu pourrais léger la boutique ? » Il attendit sa réponse, avant de poser les croissants, et chocolatines pour lui dire qu’elle n’a rien à « rajouter ». Et qu’il le fera même si elle s’y opposait. Au bout du fils quelqu’un répond,

il se mit à sourire d’un air « triomphant » avant de répondre au téléphone pendant un moment. Il raccrocha, avant de reporter son attention sur Emily. Oh, elle semblait en désaccord. Il savait qu’elle aimait travailler, cependant il lui accordera sa « matinée » sauf si son amie lui empêche. Il mange de nouveau son croissant, quand elle reprit soudain la parole. Les paroles le surprennent autant : « Hum, tu t’es mis sur ton trente et un aujourd’hui, un client ou une nouvelle minette en vue ? » Il se mit à sourire amusé comme d’habitude. Il savait qu’elle s’amusait toujours à le taquiner, comme pour le rendre de « bonne humeur ». Il était souvent tendu ou fatigué après avoir terminer des semaines. Il posa sa main sur sa tête, quand il prit les couverts pour les laver. Il répondit toujours d’un ton naturel, mais taquin : « Les deux peut-être bien.. » Il se demandait sûrement ce qu’elle allait pouvoir faire. Il en doutait pas une seule minute. Et si elle reste elle va « terminer » le travail, donc il emmènera au travail. Mimi regardera comment un « homme » travaille, même si sa façon est un peu voire beaucoup brutal. Il dit cependant : « Tu me suis, aujourd’hui ! Tu te mets sur ton 31. » Il allait sûrement l’inviter ce soir également. Le temps de boire ensemble et de discuter de leur vie commune. Et si elle se plait et qu’elle veut déjà repartir le chercher ou même s’éloigner par son comportement « spécial ».

« Elle s’appelle Rosalie et non, j’irais au travail, dès que je serais prête, elle est nouvelle et ne peut encore pas … » Il est sûr qu'elle n'ira pas. Dodo est bien le seul à pouvoir automatiquement, appliquait ce qu'il voulait. Il savait que cette « Rosalie » pourrait bien la remplacer. Et ça même si elle venait être « nouvelle ». La chance de gagner des « points » auprès de Emily. Le summum c'était qu'il avait appelé, et dés qu'elle avait reçu « Rosalie ». Il ne se pria pas pour l'avertir directement. Il n'était pas délicat, et ça évite également de perdre du temps. Il était sûr qu'elle était en colère qu'il se mêle de tout. Cependant, elle était là grâce à « cet homme » en plus elle était sa « protégée ». Il était évident qu'il allait changer de comportement. Les femmes en général, ils les ignorent complètement. Une perte de temps, apparemment. Il ajouta ensuite qu'elle allait l'accompagner à son travail. Pourquoi ? Il avait ajouté qu'il était « marié » à quelqu'un pour ne pas être le seul Bachelor. Il allait se retrouver avec des regards, ou la personne qui voudra lui présenter quelqu'un. Il n'aimait pas qu'on l'accable autant. Il n'était pas comme tout le monde et c'était mieux comme ça. Il n'allait pas changer pour un « client », même s'il est plus important que la maire de StoryBrook. « Donc, tu me fais rater MON travail, pour que je te suive dans ton travail ? Quelle logique imparable … » Il n'y a une logique que quand il veut bien l'expliquer. Il lui dira seulement pour voir la « réaction ». Il avait besoin d'une femme magnifique, qu'il connaît et qui pourrait l'accompagner. Le tout était dans son appartement. Il se mit à sourire comme pour montrer qu'elle n'avait pas le « choix ». Car avec Dodo quand il ordonnait, on exécutait. La loi de la jungle. Elle qui a voulu sortir ensemble, elle va pouvoir gagner des « points » aujourd'hui. Il rajouta seulement à ce qu'elle vient de dire : « Je dois ramener une belle femme pour ce dîner important. » Le point de gagné, touchait une femme en la complimentant. Le summum c'est qu'il savait qu'elle allait pas lui « refuser ». Il lui demanda ensuite de se mettre dans son 31 pour le dîner important. Lui se mettait sa montre, quelques coups de parfum, et se laver les dents convenablement. Il allait parler de son client, avant de manger pour voir quelle prime il allait toucher.

Le temps passait, et elle ne décidait pas à sortir de sa chambre. Les femmes mettent tellement de temps, il avait complètement oublié. Il soupira longuement, avant de poser son regard sur la pendule pour voir le temps qu'il avait avant de partir rapidement. Là voilà qui sortait de son appartement. Il n'avait pas tord de l'invité, elle était vraiment « magnifique ». En même temps, il connaissait qu'elle. Il n'allait pas invité son amie, quand même. Et surtout qu'elle avait Henry cela allait faire suspect. Mimi risquait de jalouser parce qu'elle aurait pu entendre ça par quelqu'un ou même les « journalistes ». «  Cela vous convient-il Monsieur Cunnigham ?  » Il savait qu'elle se moquait mais n'en tenait pas compte. Il hocha la tête au début, avant de rajouter d'un ton provocateur mais également charmeur : « Oui ça me convient. Tu es magnifique comme ça... » Il se décala légèrement, avant de lui montrer le chemin. Il ferma correctement, en laissant passer « la dame » d'abord. Il déverrouilla la décapotable, en montant devant pour démarrer déjà le moteur. Il conduisit tranquillement, quand il revint sur le « débat » : « Aujourd'hui, tu es Madame Cunningham. » La surprise était de taille, surtout que ce moment il devra faire des « efforts » énormes pour mentir. Il sourit doucement, avant de s'arrêter devant une demeure qui était l'endroit ou il travaillait constamment. Il attendit sa protégée pour pouvoir verrouiller, et commencer à marcher. Le rendez-vous était pour 10h30. Il était pile au moment ou il rentrait également. Il fit la bise à la femme de la victime, comme au mari qui était son « client ». Un homme important qui avait entendu parler de son « travail » remarquable. Il commença les présentations : « Je vous présente ma femme, Emily Cunningham. » « Ravis de vous connaître Emily. » Il était normal qu'entre femme, l'accueil soit rapidement. Le client était déjà en train de lui parler de son « problème ». Il garda un œil sur sa protégée, mais écoutant les accusations de son client. Il savait déjà donc les armes qui serviraient à le plaider « non coupable ».

« Madame … Cunnigham ? » Il sait ce n'est pas son genre. Et il devra redoubler « d'effort ». Il n'est pas un homme à femme, ou même être en couple. Il a seulement voulu se protéger des demandes de son client. Le fait qu'il voudra lui trouver une « amie » pour sortir ensemble. Il appréciait sa compagnie, elle était donc « idéal » pour interpréter sa femme. Et elle était autant plus la « mariée cadavérique ». Emily était donc parfaite pour interpréter le rôle d'une femme mariée. Ils étaient maintenant à l'intérieur, qu'il devait déjà la présenter, même pas le temps de préparer : « Tout l’honneur est pour moi Messieurs, Dames. » Il remarquait qu'elle se débrouillait parfaitement. Vic emmena Emily pour parler tranquillement. Et lui s'occupait de son client par rapport à son « rival ». il avait à affaire à quelqu'un de dur qui allait essayer de lui montrer qu'il était « taré » pour perdre sa valeur. Il se mit à ricaner en se doutant que ça ne le toucherait nullement. Il n'était pas ce genre d'homme susceptible, ou vulnérable. Il était combattant, et n'abandonnerait pas. A moins qu'on s'en prend à sa protégée et son amie également. Il ne connaissait pas ses seuls « point faibles » donc il n'avait aucun risque. Il appréciait cet homme qui pensait autant que lui, et qui savait qu'il pouvait compter sur « son service ». Il signait des papiers comme quoi il aurait la « prime » qu'il aurait. Et surtout une alliance, s'il avait besoin un jour d'un « coéquipier » pour se débarrasser de quelqu'un. Il était ce genre d'homme à avoir le pouvoir. Ils devaient retourner auprès des femmes qui parlaient sûrement de décorations, et même de relations amoureuses comme d'habitude.

Elle devait sûrement aider pour préparer. Il n'avait pas faim, mais allait s'obliger à manger pour ne pas déplaire à son « client ». Il discutait un moment, avant de rejoindre décidément les femmes au salon. Il se rapprocha d'elle pour bien montrer leur complicité, mais il devait plus faire d'effort, surnoms d'amoureux, baiser sûrement, et des signes distinctifs qui montrerait qu'ils sont plus qu'une « image ». Ce qui allait le changer complètement, de la « routine » dans lequel il vivait en ce moment. Il soupira longuement, avant de se décider de prendre sa main ce qui est un énorme pas pour lui, et une banalité pour les personnes normales. Il en fallait peu pour sortir de sa routine et habitude, comme maintenant par exemple qu'il se sentait mal soudainement. Cela ne le répugnait pas, seulement il n'avait pas eu d'amante, ou même de copine, donc il ne savait pas comment s'y prendre. Il ne gardait pas ce genre d'information, même quand il en voit constamment. Il se força de sourire pour montrer que tout allait bien avant d'engager la conversation : « Et vous vous connaissez depuis combien de temps ? » Bim, la question. Il s'était préparé à ce genre de questionnaire mentalement. Il devait pas avoir de malentendu cependant, quand ils répondraient une « réponse » chacun. Il essaya de se rappeler quand il avait connu sa protégée, sûrement voulait-il parler de leur relation. Il allait s'efforcer de répondre au deux, sachant son Qi cela ne redoutera personne. « Il me semble presque deux ans. Et si tu voulais parler de « vie personnel » un an environ. » Il se mit à sourire avant de répondre pour montrer la « longitude » de leur mariage. Qu'est-ce qu'il ne supportait ça. Le fait de montrer son égo, et sûrement la chose qu'il hait. Cependant, il en est un bon exemple, même si son cas est légèrement différent. Il ne fait pas une tonne pour seulement un mariage et seulement six ans en couple. Il se mit en soupirer en entendant : « Nous nous connaissons depuis six ans maintenant. Nous allons fêter notre anniversaire de mariage. » Qu'est-ce qu'il pouvait s'en foutre, cela allait rappeler qu'elle devait « attendre » quelqu'un. Il détestait encore plus ça, il ne supporterait pas qu'elle part. Et justement à cause d'une phrase, par son « client », son travail était important. Là y a des limites quand même, même s'ils n'étaient pas au courant véritablement. Il fallait trouver un autre sujet de conversation. Ou trouver quelque chose qui pourrait oublier ce « malentendu ». Il venait de penser à quelque chose soudainement. Il allait sûrement le regretter, cependant.. Il osa quand même le faire, il posa sa main sur la joue de sa colocataire pour approcher sa bouche, et déposait un beau baiser. Le moyen de montrer qu'il était heureux autant qu'eux. Et pour faire également plaisir aux « deux » qui inconsciemment.. surtout Dodo n'allait l'admettre ! Il se retira par la suite, serrant sa main doucement, et leur sourit pour montrer la sincérité de leur amour. Ou de leur futur amour naissant. Il suffit d'attendre pour que tourne la chance !

Il avait pas prévu de l'embrasser. Il devait jouer le couple « marié », et enlevait le doute sur leur relation. La seule solution ; montrer son « affection ». Il en pouvait plus de les entendre, et comme ça tout le monde s'arrêterait. Il savait que ça allait « blesser » surtout qu'il avait pas encore découvert ses « sentiments ». Le mots amour était pour lui, comme un mots insignifiant, voire même complètement étranger. On ne l'appelait pas le « Virgil » pour rien quand même. Il n'avait pas eu de relation amoureuse, ou du moins réellement avec une femme qu'il aimait. Il devait recopier les personnes amoureuses. La jeune femme fut pétrifier par son acte, même si elle aimait également. La main se serra doucement, avant qu'elle fit une réflexion : « Vous êtes si mignon, vous formez le couple parfait ! » Il se sentait mal à l'aise aux remarques. Il se gratta doucement la tête, comme pour montrer son malaise, devant tout le monde. Il dira qu'il n'a pas habitude de se montrer publiquement. Le regard de sa partenaire montrait qu'elle lui en voulait, et qu'elle mourrait d'envie de le tuer maintenant. « Vous nous flattez, Victoria. Nous espérons que notre relation sera aussi solide que celle que vous avez avec Monsieur. N’est ce pas chéri ? » La question qui tue, et qui va le déranger pendant un moment. La façon de le perturber, et de l'empêcher de dormir pendant quelques jours. La vengeance est un plat qui se mange « froid ». Il se mit à soupirer, en se forçant de répondre : « Bien sûr. » Il y a son côté Qi intérieur qui dit que c'est impossible de rester éternellement avec quelqu'un. Et que forcément on peut pas vivre éternellement avec une seule même personne. Il y a des hauts et des bas, ce qui forgent le couple, et peut même le mettre en péril également. Il roula cinq fois la langue, pour se retenir de parler même s'il en mourrait d'envie.

Le regard que portait Vic lui donnait la nausée complètement. Il n'aimait pas ce genre de couple tout rose, cucu la praline il trouvait ça « équerrant ». Il allait passer un mauvais quart d'heure cependant. Il le savait déjà, mais elle ne le mettra point en « colère ». Il en faut beaucoup. Il en prendra compte légèrement, vu que ce n'est pas ce qu'il retiendra sûrement de leur soirée ensemble. Ils allèrent ensemble dans le salon pour aller dans une table parfaitement garni. Il se voyait dans une maison royale, les couverts, la tenue des personnes, cela était beaucoup trop. Il savait bien à quoi sert tout, il était invité souvent à des repas importants. Et il ne faut pas oublier que c'est un homme intelligent, qui serait sûrement sans même regarder comment manger. Ils servent déjà le potiron comme la saison était idéal pour en manger. Le summum un coup de téléphone, ou y a noté « important » comme quoi toujours au mauvais moment : « Je vous pris de m'excuser. » Il sortit de table un moment, en disant qu'il devait partir un moment. Il alla au toilette pour prendre la conversation. Oh tient, Perry ! Il appelait car il a reçu un message de la « maire » qui voulait absolument discuter sur le champ. Il lui demande de rappeler pour lui dire qu'il ne pourra pas être « délibérer » avant vingt-une heures ou même plus tard également. Elle va sûrement pas accepter cependant il était vraiment occupé, en ce moment même et ne pouvait pas se permettre de partir rapidement. Il revint à table auprès des invités et de sa charmante épouse qui doit sûrement le haïr. Il se rassoit en soupirant pour montrer à quel point le travail peut être dérangeant. Le maître de maison se mit donc à parler : « Le travail ? » Il hocha la tête, en affirmant ses propos. Il était toujours demandé comme d'habitude : « Le maire qui veut me voir absolument. » La jeune maire était « son amie ». Il savait qu'elle avait aussi plein pouvoir et qu'elle pouvait être menaçante à tout moment. Il commença à manger, en ne rajoutant rien par rapport au débat. Il dit seulement que cela devait être important. Il n'a rien à répondre à ça. Il s’essuie correctement les mains, un peu énervé avant de complimenter la soupe au potiron de leur hôte : « Votre soupe au potiron est esquisse ! » La jeune femme le remercia du complimente, contente que cela plaît beaucoup aux collègues de son époux, pour faire bonne figure comme d'habitude. Il reporta son attention sur son épouse, en souriant légèrement, la trouvant simplement magnifique.

« Emily, qu’en pensez vous du Maire ? » « Madame Mills ? Et bien, je n’ai jamais eu l’occasion de la rencontrée, mais Dorian me parle d’elle comme quelqu’un d’extrêmement charmante » Il était sur qu'elle n'allait pas penser du mal. Là, elle pouvait être sûr de blesser Dorian. Il n'était pas bête, il savait les erreurs commis par son ami, et également les avis comme quoi elle est « la méchante reine ». il était très cérébrale, et ne songeait pas une seconde que tout cela puisse paraître réel. Il ne croyait pas aux contes. Il ne voyait seulement Regina Mills, sa meilleur amie d'enfance qu'il connaît depuis longtemps. Le reste il en est conscient, cependant les personnes ont plus un mauvais côté. Il pensait seulement que c'était une femme « charmante » et qu'il a toujours approuvait. Il s'attendait à ce que la relation soit « tendu » par rapport à Mme Mills. Le peu de bien que pensait les personnes, ont finalement disparu au grès du temps. Les fautes qu'elle a commis, on fait d'elle quelqu'un de « détester ». Il ne rajouta rien pour le moment, et voit comme Vic enchaîne la conversation : « Et bien, tout le monde n’a pas cet avis ! Beaucoup disent que c’est une personne très … étrange » « Hé bien, oui c’est ce que j’ai cru comprendre, cependant, je ne peux juger par les « on dit » » Il n'était pas d'accord. Lui ne la trouvait pas « bizarre » cependant. Certes, elle a un caractère, cependant cela ne veut pas dire qu'on est « bizarre ». Il serait considérer comme bizarre également, surtout qu'il n'agit pas comme tout le monde, même si on le juge comme un « monstre » dans son travail. Et si elle ne le pensait pas, aux moins cela lui donnait un point. Il dit toujours qu'on ne se fit pas aux paroles, mais qu'on doit se faire son propre « opinions ». Il affirma ce que sa protégée avait rajouté : « Je suis du même avis, comment peux-t-on juger quelqu'un par une affirmation, ou même par ses erreurs commises. Je trouve cela d'un ridicule, et cela montre effectivement qu'on se fit beaucoup par le paraître d'une personne ! » Il ne dit ce qu'il pense, et ne se privait pas d'être cru, ou même méchant, car le mensonge fait autant de mal que la « vérité » quand on l'apprend de quelqu'un. Les assiettes se firent ramener en « cuisine », cependant son client voulait communiquer.

« Et hum, que faites vous dans la vie ? Vous aidez votre mari ? » « Non, nous avons chacun une vie professionnel bien différente, je suis gérante de la boutique de mariée qui a récemment ouverte au centre ville » Il ne voyait pas comment à moins d'être une « secrétaire », cependant il se passe des services d'une femme. Il n'est pas macho, seulement il se satisfait intellectuellement. Et si vraiment il a besoin d'aide, il peut appeler des collègues qui s'occuperont de le « prévenir ». Il n'y a aucune gêne de parler de son métier, à moins d'avoir un métier vraiment « dégradé ». Il en était pas le cas, il trouvait ça bien d'accompagner les « mariés » dans leur événement. Il se doutait que ça doit lui faire mal quand même, surtout qu'elle attend toujours cet homme. Il se demandait ce qu'il allait « faire » s'il le rencontrait. Il serait déjà pétrifier ou renvoyer de StoryBrook. Il ne comprend pas comment les humains peuvent abandonner quelqu'un sans « remords ». Le tout seulement pour de l'argent. « Oh, je vois, ma secrétaire y a déjà fait un tour, elle m’en a dit que du bien ! » « Hé bien, je suis ravie que cela plaise » Le regard qu'avait son épouse, démontrait qu'il la trompait. Il aurait pu le savoir uniquement en remarquant son odeur, et comment il s’habillait. Il avait remarqué que la bague était « usé », comme s'il voulait caché « son mariage ». Et l'odeur féminine qui montrait qu'il avait déjà vu auparavant quelqu'un. Il n'avait rien dit depuis le début, ne voulant pas se créer de problèmes, cependant là ça touchait également sa protégée : « Je vous prierai de ne plus évoquer « cette secrétaire ». Il y a des choses qu'elle est pas forcément obligé de savoir. Je suis navré pour ce malentendu Victoria. » Le passé revenait à sa protégée, comme évoquer cette personne qu'il avait abandonné. La main posait sur son corps, démontrait bien qu'elle se projetait dans un passé douloureux. Et tout ça par les propos de son client, il n'aurait peut-être pas dû emmener dans cet endroit. Il devra sûrement se faire pardonner, en mangeant ce soir dans un restaurant seul.

Il écouta quand sa femme essaya de découvrir : « Tout va bien Emily, vous êtes toute pâle ? » « Oui … Excusez moi, je vais aller prendre un peu l’air avant que le repas n’arrive » Il la regarda partir, en fronçant les sourcils. Il n'aimait pas ça du tout, même si son client semblait un peu malaise par rapport au malentendu. Et qu'il savait que c'était sa « dernière » chance, il allait prendre plein gros, pour avoir blesser sa « protégée ». Il s'énerva doucement, et commença à agir sous influence de la « magie noire » dont il a toujours vécu. Il se leva et prit l'homme par le col, en sachant qu'on s'en prend pas à Dodo. Les clients savent qu'il est « féroce », et c'est pour ça qu'on aime l'avoir de son « côté » cependant quand on touche ailleurs. Là aussi ça fait mal, même plus que d'habitude : « N'avisez plus de reparler de vos aventures à ma femme ! Me suis-je fais comprendre?! » Il hocha la tête, avant d'avaler sa salive, en voyant le regard noir qu'il avait lancé sur sa personne. Il le relâcha, avant de se redresser correctement. Il se tourne de nouveau vers sa femme, avant de s'excuser : « Je vous pris de m'excuser. Je vais rejoindre ma femme. » Il se mit à quitter la demeure, avant de parcourir dehors pour la rechercher, sûrement pour repenser à sa vie « antérieur ». Il avait souffert également, il avait perdu sa sœur qu'il devait retrouver absolument. Le fait d'y repenser lui brisait le cœur, surtout qu'il lui a promis formellement de la retrouver. Il aperçut en train de se regarder les mains, croyant de nouveau que cet homme avait pu la tuer pour se retrouver « morte ». Il s'avance doucement, avant de déposer sa main sur son crâne : « Arrête de te faire du mal, Emily. Je n'aime pas te voir comme ça. » Il se mit devant elle, en lui remontant doucement son visage pour qu'il ne communique pas dans le « vide » : « Je suis désolé que tu es pu entendre ça. Je n'aurai peut-être pas dû t'inviter. » Il devait se faire racheter, de son point de vue, donc il décida contre toute attente de l'invité : « Pour te faire changer d'avis. Je t'invite au restaurant. Celui qui te tient à cœur. Qu'importe le prix ! »

Il était venu après le règlement de compte. Il n'aimait pas ce genre de comportement, ou même qu'on s'en prend à quelqu'un. Il était devenu plus désagréable, sachant qu'on parlait évidemment de sa protégée. Lui faire rappeler le temps d'auparavant, était une « mauvaise » idée. Il a eu quand même de la chance. Le connaissant, il aurait pu réagir beaucoup brusquement. Il avait suivi du regard pour ne pas la déranger directement. Il savait que les humains apprécient la « solitude ». Le moment venu, il déposa sa main doucement, quand il entendit son prénom : « Dorian ? » Il respecte toujours ses « promesses » comme celle de la protégée également. Il n'allait pas la laisser s'apitoyer. Le client n'était pas « roi » quand il y a son Emily. Il aura beau être jaloux qui porte autant d’intérêt à une « femme ». Et même blablater comme quoi il serait devenu « doux ». Il s'en moquerait complètement. Il ne porte aucun intérêt à des rumeurs ou mensonges. Il lui avait demandé d'arrêter de se heurter. Il n'aimait pas la voir mal . Il soupira quand il entendit : « Je m’excuse Dorian. » Il ne comprit pas pourquoi. Quand il vient de réaliser, qu'elle faisait allusion « au repas d'affaire ». La jeune femme était complètement innocente. Il avait insisté pour l'emmener, donc il en était le seul « responsable ». Il venait ensuite présenter des excuses également, pour l'avoir inviter avec un « abruti ». Il répondit à son excuse d'auparavant : « Je ne vois pas pourquoi tu tiens à t'excuser, Emily. Je te rappelle, que je t'ai invité dans le « repas d'affaire ».Tu n'as donc pas à te blâmer. » Il aurait pu comprendre, si elle aurait tout gâché, cependant le coupable c'était « son client ». Il n'allait pas s'énerver pour peu. Il ne lui en voulait pas, surtout qu'il ne la croit pas « coupable ». Il a vu seulement son client, communiquait comme s'il était des personnes « familières ». Il avait une discutions comme un employé avec son client uniquement. Il ne l'avait pas compris. Il avait du lui rappeler par brutalité malheureusement. « Tu n’as pas à t’excuser Dorian .. . C’est de ma faute ». Il ne voyait vraiment pas. Il fronça le regard, pour montrer son désaccord.

Il voyait qu'elle le prenait à cœur. Il n'allait pas se faire engueuler. La personne qui oserait l'engueuler. Il était un sorcier, donc il pourrait prendre son « pouvoir » pour emmener la personne dans le malheur le plus complet. Il roula des yeux pour montrer, que tout ce qu'elle disait le dépassé complètement. Le travail il en trouvera toujours, il demandait tout le temps, ce n'est pas un client qui va tout empêcher. Il lui demanda si elle voulait manger ensemble, une idée comme une autre, d'oublier ce « malentendu ». Il était bien entendu d'un rendez-vous comme certain appelle-ça. Hélas, il ne connaît nullement ce mots, donc allait lui expliquer qu'un « repas » c'est comme un « rendez-vous ». Il va être complètement ignorant, et ne va rien comprendre. « Je ne connais pas trop les restaurants de Storybrooke, depuis mon arrivée, je n’ai pas eu l’occasion d’y aller, je me laisse donc guidée. » Il avait complètement oublié qu'elle était « nouvelle ». Et que malgré le temps, elle ne se donnait pas quelques minutes pour s'occuper. Il suffirait qu'elle lui demande un restaurant, et il en trouvera à proximité. Il la regarde sourire, voyant que ça lui plaisait. « Mais j’ai … un faible pour un petit japonais » Il se demandait si c'était pour leur décoration appréciait, ou uniquement pour le goût. Il n'en tient pas rigueur, et se met un moment à réfléchir pour rechercher un endroit pour manger asiatique. Il ne put écouter ce qu'elle avait à répondre, il était dans son palais cérébral. Il peut entrer son son cerveau, comme beau lui semble, cependant il est comme « absent ». « Enfin … si ca te convient, je n’ai pas envie d’être la seule à manger » « Il n'y a un à quelques kilomètres, tu veux marcher ? » Il revoit la scène, en voyant qu'elle lui avait demandé pour le « japonais ». Il n'avait pas capté qu'elle avait parler auparavant. Il se ressaisit rapidement, en reportant son attention sur Emily. Il réfléchit à ce qu'il aime ou non. Il n'en différence pas beaucoup, cependant il semble qu'il appréciera la nourriture ou même l'endroit : « J'apprécie l'art culinaire Japonais, cependant leur sauce sont beaucoup trop épicé.. » Il vient de dire qu'il n'y a aucun problème. Il est dur à comprendre.

Il se mit en route pour aller dans un restaurant. Il n’avait pas faim également, mangeant très peu. Il n’y avait pas de sujet de conversation. Il commençait soudainement à s’assombrir. Il se mit à froncer des sourcils, le mauvais temps le fait beaucoup boucler. Il était suffisamment, pourquoi le temps agissait sur les « cheveux » ? Il n’avait même pas prévu de parapluie. Il soupira longuement, quand il s’aperçut qu’elle est complétement trempé. Il retira rapidement son manteau, pour le déposer sur Emily. Il se moquait de tomber malade. Dodo n’a pas choppé de maladie. Quand il tombe malade, il reste scotché au lit pendant longtemps. Et vu qu’il ne le supporte pas, on doit « constamment » le surveiller. Il ne cesse de bouger, ou même de trouver une occupation. Il regardait le ciel, complétement « passif », en soupirant longuement. Il voyait son pouvoir dériver par le climat, perdant le contrôle de son pouvoir de « clonage » changeant. Il l’écoutait « Je pense qu’il va falloir attendre que cela se calme » Il soupirait, en sachant qu’il va se « transformer » spontanément. Il essaye de se cacher pour la protéger de « son pouvoir noir » mais qui est « inoffensif » en premier temps. Il va falloir trouver rapidement une « solution » et là soudainement il sort spontanément pour se « transformer » en cheval. Il a un don de clonage et d’apparence.. Incroyable ! Il hémi comme un cheval, en lui faisant signe de monter rapidement. Il va devoir se trouver un endroit pour se changer. Il embarqua rapidement par le museau, quand elle masque son maquillage, et sa coupe de cheveux pour être « présentable ». Il soupira longuement, en voyant qu’il ne pensait pas au physique. Il n’est pas un humain normal, ce qui lui plait est le mentale, non le « superficiel ».  Il attrapa pour galoper rapidement devant son appartement. Il irait demain chercher son automobile.

Il se stoppa devant son appartement, en donnant les clés à sa compagne. Il ne pouvait pas se transformer. Il devait attendre un moment, alors quand il rentra dans son appartement, il alla rapidement se réchauffer, pour avoir un contrôle « adapté » sur son pouvoir. Il va voir ensuite Emily : « Je te conseille de prendre une douche chaude. Je prépare le café pendant ce temps. » Il alla trempé dans la cuisine pour le préparer. Il éternua toutes les cinq minutes, en soupirant se doutant qu’il allait tomber malade. Il prend un cachet, en se mouchant pour éviter « la maladie » tout simplement.  Il alla se reposer dans le canapé pour s’endormir pendant un moment. Il dormait souvent quand il est malade, et ça il ne s’en rend pas complétement compte. Il croit seulement que ce n’est que cinq minutes. Il se réveilla uniquement quand il l’entendit sortir. Il se frotta les yeux, comme un grand enfant, en s’étirant de tout son long. Il se redresse, en lui souriant : « Ca va mieux ? Il y a des cachets, sinon.. » Il se mit à éternuer, ça lui apprendra à vouloir aider quelqu’un. Il se voyait comme sa sœur auparavant. Il s’en occupait tout le temps, et essayait de la calmer par rapport à ses « craintes ». Il devait se montrer le plus rassurant, Cassandre avait peur de mourir comme beaucoup.

hs : si tu veux que je modifie quelque chose, tu me le dis ,)

Il dormait tranquillement, complètement malade. Il avait certainement de la fièvre, et des « tremblements ». Il en démontrait rien, car il y a bien une « chose » qu'il supportait mal. Lui dire qu'il était « fragile » ou même « faible ». Il n'est pas tombé malade depuis longtemps, même enfant il n'a rien eu d'alarmant, ou de maladie « normal ». Il avait une bonne santé, seulement quand il tombe vraiment « malade ». Il reste dans sa chambre pendant un moment. Il ne sentait pas que quelqu'un déposait une couverture, ni même le bruit de la porte s'ouvrir doucement. il dormait profondément, comme un « chaton ». Il ne l'avait même pas vu partir pour préparer le dîner, seulement la porte s'ouvrir au bout d'un moment. Il lui avait demandé comment elle allait depuis le temps. Il avait récupéré tremblante, donc elle aurait pu tomber malade. « Tout va bien, ne t’en fais pas, je n’ai pas une santé fragile. » Il fallait sous-entendre qu'il avait une santé « fragile ». Il haussa un sourcil, avant d'être prit par un éternuement. Il n'aimait guère tomber malade, et depuis longtemps une personne s'inquiétait réellement. Il n'avait pas vu ça depuis qu'il était avec son parent, ou même sa sœur Cassandre. La petite lui manquait énormément, et il avait promis qu'il viendrait la récupérer. Il ne se doutait pas que les responsables était « ses parents ». Il fronça des sourcils, n'étant pas habituer qu'on se « soucie » de lui. Il observa poser sa main sur son front pour voir la température. « Je ne suis pas fragile.. Je tombe rarement malade, et quand ça m'atteint comme maintenant.. Je tombe gravement malade seulement... Alors arrêtez de sous-entendre que je suis un homme FRAGILE ! » Il ne parlait pas d'elle, mais à tout le monde qui le sous-entendait, ou se moquait gentiment pour le taquiner, ou même son docteur. Il se pourrait que cela met son pouvoir en mode « alerte » et que pour se protéger il se transforme rapidement. Il n'espérait pas, sinon il aurait dû mal à redevenir normal pendant un moment. Il commençait à s'énerver, et lui en voulait un peu de « sous-entendre » comme tout le monde. Il ne fit comme si rien ne s'était passé, comme pour la protéger.

« Tu as encore de la fièvre, va te reposer dans ta chambre. En attendant, je vais appeler le Docteur. » Il savait que c'était un ordre, cependant il se sentait seulement un peu malade. Il se redressa pour mettre son manteau, et prendre un sirop pour se soigner avant de repartir rapidement. Il soupira quand quelqu'un veut le rendre « obéissant » comme il a était quand il était adolescent. Il regarde sérieusement Emily comme pour lui expliquer : « sérieusement tu crois que je vais t'obéir. » Il ne lui disait pas, mais le faisait transmettre uniquement par un regard. Il entendit le mots « docteur » il devint plus sombre soudainement. Il savait qu'il allait lui empêcher de travailler. « Il ne me m'auscultera pas ! Je n'ai pas besoin de l'avis d'un médecin. Je n'ai qu'un simple rhume.. » Il alla rapidement dans sa chambre. Il commença à poser ses documents. Il se concentre dessus pour terminer, et pouvoir comment anéantir son adversaire simplement. Il devait tout connaître, et pouvoir s'amuser avec ses « points faibles » pour gagner. La jeune femme était déjà devant son ordinateur, pour trouver un médecin adéquate. Il soupira longuement, même quand il entendit l'appeler pour lui demander un nom d'un « médecin ». Il n'allait pas lui donner une tâche « facile » cependant. « Tu as un médecin ?  » Il en avait pas en plus. Il demandait seulement à un ami, comme ça il pourra lui donner des conseils, sans pour autant lui « interdire » de travailler pendant un moment. Il était un homme de travail, donc il ne supportait pas d'être « inactif » pendant longtemps. Il n'était pas ce genre d'homme à obéir à quelqu'un. Il ne répondit simplement pas, comme pour lui faire comprendre que « non » il en avait pas un. Il n'aimait pas ces médecins, et n'aimait pas qu'on le touche simplement. Il n'avait pas besoin d'être ausculter de son point de vue. Il ne laisserait personne voir son « corps » qui était quelque peu abîmer avec le temps. « Je n'en ai pas, et aucun de ses hommes me touchera.. » Il répondit en levant la voix. Il continua à travailler, avant d'éternuer de nouveau, avant de prendre un pulvérisateur nasal pour empêcher les éternuement. Il était tellement fatigué, qu'il se transforma inconsciemment à elle, seulement parce qu'il pensait qu'elle s'inquiétait comme il se soucierait de sa sœur. Il se frotta les yeux un moment, avant de se rendre compte que sa main était devenue « féminine ». Le seul mots qu'il pu sortir fut « eh merde.. » Il alla sur le matelas pour se cacher pendant un moment. Il n'aimait pas se transformer quand il tombait gravement malade pendant longtemps.